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Histoires Des Invitées

Florence 6

Par Florence

 

Visite de la cité.

 

A peine ai je repris mon souffle, je monte me changer mais sitôt entrée dans la villa, l'angoisse me reprend. Julien, mon mari, va débarquer ce soir. Après tout ce qui s'est passé dans la journée c'est trop insoutenable d'imaginer notre confrontation. Il a osé coucher avec ma pire ennemie ; je sais bien qu'elle a tout fait pour ça et user de tous ses charmes mais çà, jamais je ne pourrais lui pardonner ! En plus, il n'a pas fait ça n'importe comment mais vraiment de manière très crue et brutale !

Alors je décide de me changer et d'appeler Véronique, une amie qui habite pas très loin. Puis je laisse un sms à Julien : "Je vais passer la soirée, et peut être la nuit chez Véro". Rien d'autre, sans explications ni fioritures. C'est quand même moi la victime, c'est à lui de faire le premier pas !

Véro est disposée à m'accueillir ; alors je prends quelques affaires et ressors de la maison, en faisant attention de ne pas me faire remarquer. Je sais que j'ai dorénavant des personnes qui m'ont vu en fâcheuse posture dans le quartier ! Soit d'aller proposer tout simplement de me faire sauter chez le voisin, soit de me balader les fesses rougies à nu dans la rue !

Un peu plus tard, Véro m'accueille. Bien sûr je ne lui parle pas du tout ce que j'ai vécu dans la journée. C'est tout simplement inracontable. J'ai juste besoin de prendre un peu de temps en dehors de chez moi et sans Julien. Véro me trouve peu causante et inhabituellement anxieuse voire sans énergie moi qui me met souvent en avant. Si jamais elle savait ! Mais ça me fait comprendre que les supplices de Malika m'ont transformée l'espace d'une journée. Je n'ai pas les moyens ni l'envie de me battre contre elle. Elle a tous les atouts dans sa poche et je suis coincée. Si je parle ou prend quelque initiative, elle a promis d'envoyer mes photos compromettantes (moi déguisée en truie, avec un tire bouchon planté dans l'anus et un groin sur le nez, nue en train de jouer du piano dans une pose indécente !) à mes employés des salons et à ma famille proche voire à les distribuer dans les boîtes aux lettres du quartier. Bref elle est capable de me pourrir la vie et de m'obliger à quitter la ville, mon mari, mon métier...

Je m'endors finalement avec ces pensées terribles et me réveille plusieurs fois dans la nuit suite à des cauchemars où je revis des moments de ma journée. Le matin enfin, nous prenons le petit-déjeuner ensemble avec Véro puis elle me propose de rester chez elle si je le souhaite. Je reste un moment seule le matin puis vers 11h, tournant en rond, je décide d'essayer de rentrer chez moi. Mais juste à ce moment là, je reçois un sms énigmatique : "merci pour votre courrier - je vous accueillerai avec plaisir ce jour à 14h dans votre tenue habituelle". Suit le nom d'un arrêt de bus, où je dois me rendre, que j'identifie immédiatement être situé dans le quartier où j'ai posté mon troisième string avec mon numéro de téléphone ! Je suis foutue ! Je l'avais oubliée ce troisième gage. Ca y est j'ai de nouveau des douleurs ventrales. Et dire que je dois bientôt me préparer pour aller à ce rdv. C'est Malika qui m'envoie chez lui et si je n'obéis pas, la punition risque d'être terrible.

J'enfile donc une robe bcbg mais pas la plus bcbg de mes robes ainsi que des escarpins avec talons de 5 cm. J'hésite à mettre des bas mais finalement de me décide à garder mes jambes nues. Je vais dans une cité où je n'ai pas l'habitude d'aller et où je risque de me faire remarquer... Je sens déjà le décalage en me préparant ne sachant pas ce qui m'attend mais qui sera certainement pas une partie de plaisir...

Je m'y prends à l'avance pour prendre mon bus. Je ne prends pas le risque d'arriver en retard. Une fois dans le bus, plus je m'éloigne de chez moi, plus je sens que l'ambiance est différente, la population aussi. On me regarde un peu bizarrement. Ces gens là ne doivent pas trop avoir l'habitude de voir une femme comme moi venir dans leur quartier.

Enfin, je descends à l'arrêt convenu. Il est 13h55. Je me retrouve alors seule à l'arrêt de bus mais pas pour longtemps ; en effet, un groupe de trois jeunes d'une vingtaine d'années me remarquent et s'approchent de moi. Je fais semblant de ne pas les voir mais ils m'abordent sans gêne :

    - Alors la bourge, on nous snobe ?

    - On vient voir comment c'est la cité ?

    - Tu veux qu'on te fasse visiter ?

Je réponds en bredouillant :

    - Heu non non non merci. Je je...

Bien sûr ils remarquent mon trouble et ma peur :

    - Eh les gars on veut l'aider et voilà comment elle nous répond la bourge !

    - Tu sais que tu vis ta vie là ? On aime pas qu'on se foute de nous ! T'es pas chez toi ici et c'est nous qui faisons la loi.

    - Oui oui bien sûr je je ... je ne voulais pas vous importuner...

    - Eh vous avez vu les gars comment elle parle cette meuf ?

Ils comment à me serrer et l'un met sa main sur mes fesses.

    - La viande n'est plus très fraîche mais j'en ferai bien mon dîner, dit l'un.

Un autre passe directement ma main sous ma robe et me mets la main aux fesses puis me fait claquer mon string ! Je sursaute !

    - Oh mais c'est qu'elle porte un string et elle a le cul à l'air ? C'est qu'elle nous provoque, elle veut de la bite cette chaudasse !

Je suis outrée de leur vulgarité et je sens que ça dérape et réagis affolée :

    - Oh mais arrêtez je vous en prie.

Un autre me plaque brutalement sa main sur ma poitrine. Ils sont collés à moi. Je suis coincée contre l'abribus et je vois les regards des passants qui se détournent ! Je sais que si je crie, personne ne viendra à mon secours !

Mais juste à ce moment, j'entends un sifflement tout prêt qui fait se retourner les jeunes. Je vois aussitôt celle qui a sifflé. Une femme plus âgée, d'une trentaine d'années, sûre d'elle, qui fait un geste aux jeunes et ceux-ci déguerpissent sans rien dire.

Je tiens à la remercier aussitôt :

    - Heu merci, merci madame...

Mais la femme part d'un éclat de rire :

    - Ahahah, tu sais, j'aurais bien aimé te voir te faire violer dans l'abribus, ça m'aurait excitée je crois de voir une bourge des beaux quartiers se faire prendre par de jeunes racailles, mais le chef n'aurait pas aimé qu'on joue avec son cadeau !

C'était donc ça ! Je comprends que c'est l'envoyée spéciale de mon interlocuteur qui est arrivée pile à l'heure. Et tout ce qu'elle dit me rend toute fébrile.

    - Bon tu me suis et tu arrêtes de parler, reprend-elle d'une voix ferme.

Je la suis alors. Nous sommes entourés d'immeubles typiquement de cités. Je me sens oppressée. Rapidement, elle prend une rampe qui descend au sous-sol d'un des immeubles. Je la suis de près mais je me sens comme une agnelle qui va retrouver une meute de loup...

Nous rentrons dans le sous-sol et suivons un couloir sombre puis nous arrivons devant une porte où se tient un homme avec un regard dur ; il me regrade à peiner et la femme lui fait un signe et il ouvre la porte. Il y a une lumière crue à l'intérieur. Je rentre et me retrouve dans une grande pièce avec des piliers de béton. Quatre hommes se tiennent là jouant aux cartes sur une table. Les regards se tournent vers moi. Ma guide me prend brutalement par le bras et m'amène au milieu de la pièce, face aux hommes.

    - Voilà le cadeau du boss les gars, vous la préparez ? Il doit arriver dans pas longtemps !

Alors les quatre hommes me regardent lentement de la tête aux pieds. Ils ressemblent aux jeunes de l'abribus mais plus matures, 25 à 30 ans environ et je sens qu'ils ont l'habitude des situations extrêmes où ils savent garder leur sang froid.

Puis sans un mot, ils se lèvent. Tout semble réglé à la seconde près, j'ai le coeur qui bat terriblement vite et fort. Toujours sans un mot, ils m'entourent d'un large cercle. Puis un des hommes me fait signe d'approcher vers lui. Je m'exécute terriblement impressionnée par leur calme et leur dureté. A peine suis-je arrivée proche de lui qu'il me claque violemment la joue !

    - Aïe !

Je trébuche avec mes hauts talons et manque de tomber me tenant la joue rougie par le coup. Alors celui qui m'a claquée me dit :

    - Tu vas aller gentiment de l'un à l'autre et t'as pas intérêt à tomber sinon on va pas te reconnaître dans ton quartier !

Terrorisée, je me dirige la joue encore brûlante vers l'homme situé en face du premier.

A peine arrivée vers lui il s'approche de moi et mets les doigts de ses deux mains de chaque côté de ma bouche et m'écarte lentement la bouche en tirant mes lèvres de chaque côté. Tout en faisant ça, il me regarde grimacer et je sens que ça lui fait plaisir. Ca commence à me faire mal mais il écarte de plus en plus, j'ai la bouche béante. Je vois de côté la femme qui m'a servie de guide qui regarde toute la scène et horreur ! je la vois se caresser l'entre-cuisses en me voyant me faire ainsi maltraitée !

Quand j'ai la bouche écartée au maximum et que j'ai les larmes qui commencent à couler sur mes joues sous la douleur, je reçois un énorme crachat, que je n'ai pas vu venir, au fond de ma bouche. Et là l'homme tout content de lui dit :

    Allez avale ça, ça aurait pu être pire !

J'avale dégoûtée son crachat en grimaçant et il me pousse en arrière vers on acolyte qui se tient de côté. Là encore je manque de trébucher avec mes talons mais échappe au pire mais me retrouve face à lui désemparée.

Le troisième homme a un sourire mauvais. Il s'amuse de me voir trébucher avec mes talons. Alors il me dit :

    - Allez retourne toi et cours vers Ahmed en face là bas. Mais avant tu vas baisser ton string à mi-cuisses ! Et tu cours vraiment ; je suis curieuse de voir une femme des beaux quartiers courir avec ses hauts talons dans un cave de HLM ! Et fait gaffe, si tu tombes à terre, on t'envoie le chien ; il est en manque de femelle depuis plusieurs semaines !

Ahahah ! Et sur ces paroles terribles, la femme donne un grand coup de poing dans une porte métallique qui fait aussitôt aboyer férocement un chien que j'imagine être du genre chien-loup !

Je sombre dans l'horreur absolue : oh non, pas ça ! Pas avec un chien ! Tout ça me paralyse mais je me dois d'obéir : courir et surtout ne pas tomber sinon c'est dans les griffes du chien que je tomberai !

Ahmed est la quatrième homme qui est à quelques mètres de moi. Docile, je commence à descendre mon string au dessus de mes genoux sous le regard vicieux de l'assemblée qui ne perd pas une miette de la scène ! Quelle honte ! Puis je me mets à courir vers lui du mieux que je puisse faire. Je dois être ridicule en courant ainsi à petits pas ainsi entravée par mon string, je suis obligée de me tortiller ce qui les faire rire. Arrivée sur Ahmed que j'évite d'ailleurs de peu, celui-ci me stoppe dans mon élan en me prenant par le bras brutalement et passe sa main sous ma robe puis plaque une de ses mains sur ma fesse droite nue et serre mes chairs lentement mais sûrement. Je gémis de douleur. Mais il me teste et tourne sa main pour bien pincer et meurtrir mes chairs.

    - Hmmmffff.

J'ai mal ! Ce sont encore mes fesses déjà soumise à rude épreuve la veille qui prennent encore !

Mais je m'efforce à ne pas crier mordant mes lèvres de douleur. Il serre au maximum puis relâche brusquement sa main en me disant :

    - Allez tu fais le retour mais ton string sur la tête maintenant !

Oh l'horreur et l'humiliation continuent. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas de limites !

Et me voilà toujours aussi docile à oter mon string et à l'ajuster sur ma tête. Ahmed me regarde en ricanant et me l'ajuste pour que mon visage soit à moitié couvert par le triangle de mon string.

    - Comme ça tu sentiras bien ton odeur de femelle !

Cela les fait encore plus rire et la femme s'est approchée pour jouir du spectacle tout en continuant à se caresser.

Arrivée de nouveau devant le troisième homme qui apparemment est tout content de me retrouver, je le vois et le sens me plaquer d'un coup ses deux mains sur mes deux seins. J'ai mes deux seins enserrés dans ses mains qu'il commence à refermer sur mes chairs. Oh non ! chacun y va de son petit plaisir de me voir souffrir ; ils mettent à mal mon corps en se partageant mes parties sensibles ! J'essaie de ne pas crier mais la douleur est vive. L'homme le sent mais là aussi je le vois sourire en abusant de son pouvoir et en tournant progressivement ses mains ce qui met à la torture mes chairs. Je sens que voir souffrir une femme bcbg comme moi décuple son plaisir ; c'est toute la haine de mon milieu social qu'il me fait passer à travers ses mains qui pressent mes seins.

    - Aïe ! Aïe !

J'ai mal mais l'homme ne relâche pas son étreinte, plus je vais crier plus il va prendre son plaisir...

Mais tout à coup j'entends une porte claquer.

Tout le monde tourne le regard vers la porte qui vient de claquer où apparaît un homme bronzé, en costume clinquant et des bagues aux doigts.

Aussitôt, les autres me lâchent et je croise le regard de l'homme encore plus dur que celui des autres ; je comprends que c'est le destinataire de mon courrier...

Alors que les autres s'éloignent de moi, l'homme s'approche lentement. Je suis vraiment devenue l'agnelle sans défense tombée dans la gueule du loup !

Alors qu'il est proche de moi, il me dit d'une voix grave :

    - C'aurait été dommage que vous vous fassiez violer à l'arrêt de bus madame ! Ici ce sera nettement mieux vous ne croyez pas ?

Je suis offusquée d'entendre ça mais d'un autre côté à quoi d'autre aurais-je pu m'attendre ? Et ce vouvoiement croisé avec ces paroles insensées !

    - Heu monsieur, ce courrier était une terrible méprise...

Mais il me coup aussitôt par un rire sardonique :

    - Ahahaha on dirait que la bourgeoise commence à regretter d'avoir voulu visiter la cité ? Vous tremblotez comme si vous alliez vous pissez dessus ! Ahahah ! Et quel accoutrement ridicule avec ce string sur la gueule !

Son rire résonne dans cette salle sans meubles et me terrifie.

Il me regarde de haut en bas. Je me sens une fois de plus comme si j'étais à l'abattoir et que le boucher regardait la qualité de la viande !

    - Vous savez je fais tout ça pour rendre un service à une amie à qui vous avez fait des misères m'a-t-elle dit.

    - Oui, heu non, heu oui mais je regrette tout çà dis je en me tortillant terriblement gênée.

    - Oui mais c'est un peu tard maintenant que vous êtes ici non ? Allez j'en ai marre de vous entendre parler, à genoux !

Terrorisée je m'agenouille devant lui les mains dans le dos.

    - Otez ma chaussure droite !

Un peu étonnée de la consigne je m'exécute et enlève sa chaussure qui est du genre rangers.

    - La chaussette maintenant !

Je m'exécute de nouveau. Je sens l'odeur forte émanant de ses pieds mais contiens mon dégoût.

    - Léchez mes orteils en me regardant !

Dégoûtée mais docile j'obéis et commence à lécher ses orteils. Evidemment l'odeur est encore plus forte comme çà ! Je ne peux m'empêcher de grimacer.

    - Ahahah nous avons affaire là à une bcbg qui a toujours eu une bonniche pour laver son linge sale hein ?

Je fais oui de la tête docilement et continue à le lécher.

    - Ouvrez grand votre gueule !

J'obéis et aussitôt il enfourne ses orteils forçant ma bouche pour tout y mettre ! Ca me déforme les lèvres et m'écartèle la bouche.

    - Prenez tout ou je demande à un de mes sbires de vous écarteler les mâchoires !

Oh non je me dis qu'il faut absolument que j'y arrive et j'écarte au maximum pour tout prendre son bout de pied dans ma bouche.

    - Regardez moi comme çà dit-il en riant.

J'obéis et je vois son regard pervers.

    - J'adore voire votre gueule de bourge déformée par mon pied et reniflant son string. Quel pied ! Vous avez l'air vraiment pitoyable comme çà ! Votre mari vous a déjà vu comme ça ?

Je réponds non de la tête et là je sens qu'il tourne son pied dans ma bouche tout en l'enfonçant au maximum puis d'un coup il ressort son pied plein de ma salive.

Je reprends mon souffle mais il me dit :

    - Restez à genoux et tenez vous bien droite le visage bien en avant.

Je m'exécute et je sens aussitôt son pied plein de ma salive passé sur les joues, mon nez, mes yeux en appuyant contre ma peau. C'est comme si j'imprégnais mon visage de son odeur et je sais qu'il fait ça pour ça, prenant plaisir à me pincer le nez entre deux orteils puis en les passant après juste sous mon nez pour m'obliger à bien sentir.

Puis il me dit :

    - Allez sortez vos seins de votre soutif et passez les hors de votre robe sans la déboutonner.

Je me sens complètement sous son autorité et sous son emprise ! Encore plus qu'avec Malika. Je me sens résignée et plus à même de me défendre ! Je sens que je perds progressivement toute dignité.

Me voilà donc avec mes seins nus sortis un peu rougis par ce que m'a fait un des hommes précédemment et déformés par ma robe avec mes tétons tendus de peur.

    - Oh mais la bourge aime bien qu'on la maltraite on dirait !

Et là dessus il prend mon téton entre ses deux orteils et le serre et tord son pied. Je grimace mais m'efforce de ne pas crier.

Puis avec l'autre pied encore chaussé, il appuie sur mon autre sein juste sur le téton. Je sens la dureté de sa semelle et surtout quand il la frotte contre mon téton. Encore une fois je m'efforce de ne pas crier mais ma bouche ouverte montre bien que je subis le martyr !

On dirait qu'il aime ça puisque sans un mot et sans pitié pour moi il s'applique à râper son pied chaussé sur mon sein puis sur l'autre. J'ai les seins qui deviennent rougis, griffés, marqués et mes tétons me brûlent.

    - Aïe ! Aïe !

J'implore sa pitié de mon regard mais je comprends vite mon erreur puisque cela semble décupler son plaisir et son sadisme. J'ai droit encore à quelques essuyages de pieds sur mes deux seins que je subis comme je peux en gémissant puis il me présente sa semelle et je comprends de moi-même que je dois la lécher ce que je fais docilement malgré le goût de la terre et du caoutchouc mêlé que je ressens.

Me voilà une fois de plus tombée plus bas que terre ! Et en plus j'obéis de plus en plus docilement aux ordres qui me sont donnés !

Mais l'homme me ramène rapidement à mes pensées en me disant :

    - Tournez-vous et à 4 pattes tête au sol !

L'ordre est impératif ! Je me mets en position la croupe tendue en arrière face à lui. Avec ma robe je dois avoir le haut des cuisses à l'air !

Sur ce je vois la femme, mon ex guide, qui passe devant moi et se dirige vers lui. J'entends des bruits de vêtements qui se défont. Je n'ose pas bouger, tétanisée ! Je me dis que je vais y passer et que peut-être après tout cela sera terminé !

Puis j'entends des bruits de succion sans équivoque mais sans aucune parole qui montrent que la femme est en train de lui faire une fellation.

Puis je l'entends se lever. L'absence de toute parole me met dans une situation intenable. Je sens les perles de transpiration qui descendent le long des mes cuisses. C'est alors que je le sens me relever ma robe sur mon dos puis écarter brutalement mes cuisses.

    - Ne vous en faites pas, je passe toujours par l'entrée des maris ! Ahahah.

Je suis tétanisée, mon intimité offerte entièrement.

Je sens alors qu'il me pénètre d'un coup brutal. Je pousse un "oufff" quand il me prend et mon visage et mes seins sortis s'écroulent et râpent le sol . Mais j'essaie malgré tout de me maintenir en position comme la soumise docile que je suis devenue se doit de le faire.

Il ne me laisse alors aucun répit et fait des va et viens d'une rare violence, s'enfonçant d'un coup puis ressortant presqu'entièrement pour se réenfoncer sèchement. et ainsi de suite. Je commence à haleter comme une petite chienne sous le regard des hommes et de la femme qui ne perdent pas une miette du spectacle. El là je sens que l'homme montre aux autres tout son pouvoir en me possédant de cette manière. Je ne suis qu'un objet entre ses mains. Je n'en peux plus et mon corps tend à avancer au fur et à mesure de ses pénétrations. C'est alors que je sens son pied nu s'écraser brutalement contre mon visage appuyé sur le côté sur le sol froid. C'est tout son pied qui fait pression sur mon visage et me déforme les joues et surtout qui me maintient en place pour qu'il puisse me prendre sans résistance. Je ne vois juste en face de moi la femme qui maintenant a passé sa main dans son jean ouvert et se masturbe devant moi ! Me voir ainsi soumise semble l'exciter terriblement !

Je subis, j'ai perdu tout sens de la résistance, j'attends seulement le moment de sa jouissance dans mon corps meurtri.

Je l'entends alors tout donner de la puissance de son sexe dressé et pousser un râle puis sortir prestement de mon corps pour ensuite sentir sa semence gicler sur mes fesses.

Son pied relâche son étreinte et il me faut quelques secondes pour me redresser légèrement le corps marqué encore de son empreinte.

    - Relevez-vous et plaquez vous debout dos au mur sans toucher vos vêtements ni votre corps avec vos mains.

Sa voix est terrible ! C'est comme s'il ne s'était rien passé ! Il vient juste de me violer sans pitié et je suis souillée par sa semence qui coule sur mes cuisses quand je me relève...

Je le vois alors s'approcher de moi, son sexe déjà remis dans son pantalon, son air toujours aussi puissant et méprisant pour moi malgré son vouvoiement. Je me dis que j'aurais finalement préféré être tutoyée !

Puis d'un coup il plaque sa main sur mon cou en me regardant dans les yeux et appuie. Je sens que ma gorge devient serrée, j'ai de la peine à respirer...

    - Maintenant je vais serrer jusqu'à ce que vous vous lâchiez !

Sur le coup je ne comprends pas, j'ai de la peine à réfléchir, à essayer de comprendre, je suis concentrée sur la pression sur ma gorge la bouche ouverte tout en voyant son sourire pervers. Il sait qu'il me tient et il veut que je devine ce qui m'attend !!! C'est à moi de comprendre le supplice qu'il veut m'infliger. Il ne dit rien, je commence à me sentir mal, je vois les regards imperturbables des autres ! Je vais... je vais... Tout à coup je suis à bout, il me serre tellement que je relâche mes défenses d'un coup et je sens un liquide chaud gicler sur mes cuisses.

Son étreinte se relâche et là je comprends que je viens de me souiller moi-même ! C'est la déchéance totale, je viens de m'uriner dessus !

Et je vois dans son regard que la règle de ne toucher à rien doit être strictement respectée.

    - Bonjour à votre mari ! me glisse-t-il sadiquement dans mon oreille...

Telles seront ces dernières paroles ! Je ne suis pour lui qu'un quart d'heure dans sa journée de chef de bande et il est déjà passé à autre chose.

Dès ce moment je suis prise en charge par la femme.

Toujours sans une parole, elle me fait signe de la suivre dans le couloir. J'obéis tout en sentant mon urine qui a coulé le long de mes jambes et imprègne maintenant mes escarpins.

Je marche cuisses écartées dégoûtée par mon corps souillé en dessous de la ceinture avec l'odeur de l'urine que je sens porter maintenant mais également je sens son sperme qui descend le long de mes cuisses et de mes jambes ainsi que l'odeur de sa transpiration et de la mienne et ainsi que l'odeur puante de ses pieds que j'ai toujours sur le visage. Je me sens comme une poubelle ambulante !

Nous arrivons à l'air libre et là je comprends que je vais devoir rentrer chez moi comme ça !

La femme me fait enlever mon string de ma tête et m'emmène jusqu'à l'arrêt de bus où je suis arrivée. Ouf, il n'y a personne !

Elle consulte son portable et laisse passer bizarrement le premier bus qui se présente. Puis sans un mot pour moi elle se tient un peu à l'écart. Quelques minutes passent, des gens viennent aussi attendre le bus. Je remarque aussitôt que certains qui étaient proches de moi prennent leur distance en faisant des signes qui ne trompent pas. Un jeune se pince le nez en me voyant. Une femme me regarde avec mépris. Evidemment je dois être pitoyable ! Et le contraste entre ma tenue et ma puanteur ! Enfin, le bus suivant arrive...

 

 

 

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